Stéphane Dumas — EPITHELIA
« Une brise légère se fait sentir alors que vous entrez dans une petite salle. Les murs éclairés en transparence sont de fines membranes mouvantes en latex, ressemblant beaucoup à de la peau. La lumière rend les peaux translucides et subtiles à certains moments, mais révèle toutes les textures de leurs surfaces, à d’autres. On perçoit des empreintes, des images et des bribes d’histoires incrustées dans ces membranes. On a pénétré dans La salle des peaux perdues, une investigation sensuelle et provocatrice du mythe, de l’iconographie chrétienne, de la biologie et de la mémoire, menée par Stéphane Dumas. »
Don Burmeister
Cette série de travaux porte sur la figure humaine fragmentée. Elle vise un nouveau rapport au corps, avec ses organes déployés comme des efflorescences et son intérieur retourné sur l’extérieur. Ces peaux n’appartiennent à personne et appartiennent à tous. La peau est ici matière de l’art et peau de l’espace.
Stéphane Dumas © 2024
Cette série de travaux porte sur la figure humaine fragmentée. Elle vise un nouveau rapport au corps, avec ses organes déployés comme des efflorescences et son intérieur retourné sur l’extérieur. Ces peaux n’appartiennent à personne et appartiennent à tous. La peau est ici matière de l’art et peau de l’espace.
Cette série de travaux porte sur la figure humaine fragmentée. Elle vise un nouveau rapport au corps, avec ses organes déployés comme des efflorescences et son intérieur retourné sur l’extérieur. Ces peaux n’appartiennent à personne et appartiennent à tous. La peau est ici matière de l’art et peau de l’espace.
Galerie SafeT, New-York, 2007. Env. 2 x 6 x 10 m. Photos Megan Petersen
Galerie UNIVER, Paris, 2008, exposition La peau de l'œuvre, commissaire Itzhak Goldberg. Dimensions du dispositif : env. 12 x 8 x 2,50 m. Photos Niels Stoltenborg