Scénographie/Spectacle Alpaya

— Auditorium Saint-Germain, Paris, 2009

Cette œuvre du compositeur Bruno Ducol s’inspire d’un mythe maya toujours vivace dans le Mexique d’aujourd’hui : les amants d’Atitlan. Cette version, conçue pour la scène, fait appel à un ensemble de 4 percussionnistes dont les voix sont elles-mêmes mises à contribution. La dimension visuelle repose sur la disposition des instruments, très présents, et le va-et-vient quasi rituel des percussionistes entre la périphérie et le centre du plateau, où la grosse caisse joue le rôle d’un cœur éclairé de l'intérieur, ses « peaux » diffusant la lumière.